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larmecristal

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27 mars 2007

La corde au coup, les pieds à terreMa vie est un

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La corde au coup, les pieds à terre
Ma vie est un enfer
La corde au coup, les pieds dans l’air
A chacun sa prière.

Pas de corps dans le vide pour moi
J’ai trop de courage pour faire ça
Mon chemin est une bataille incessante
Mais je parcours ma triste descente

La jeunesse est en déclin
Des larmes perles au coin des yeux
Roulent sur les joues de satin
Le nouveau sang hurle contre les dieux

Révolution ! Ca ronronne dans les gorges.
Révolution ! Ca bat dans les artères
Révolution !  Ca fume comme une forge
Révolution ! Ca s’agite tel un cratère

¤ C'est pas génial je vous l'accorde. Mais peu importe parfois... ¤

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27 mars 2007

Accrocher sans toi...

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Accrocher sans toi...
Ensemble, accrocher l’un à l’autre. Je te sens partir mon amour. Et j’en tremble… Et j’en pleurs… Une fois encore, le grand plongeon, ce sera en silence. Et je cours jusqu’au fond de mon esprit déchiré, pour trouver la réponse à nos questions. Je cours jusqu’à céder pour trouver de quoi animer nos passions. Il y a de quoi faire dans ma cervelle pour faire naître des étoiles, des bulles de savon, des rubans de soie. Il y a de quoi faire dans ta voix pour faire naître mes angoisses, mes pleurs, mes insomnies. Et ça fait mal mon amour, à l’intérieur, tu frappes à l’intérieur.  Pourquoi c’est toi qui me fait souffrir alors que tu voulais me protéger ? Pourquoi c’est toi qui me fait mourir ? J’en crève parfois ! J’en crève comme ça… J’en ris, voilà. Dérision affolé en mes yeux de folle aliénée. Je suis malade, j’ai trop d’étoile dans la tête, j’ai trop de toi dans le cœur. Et j’en meurs ! Tu me tues parfois ! Tu me tues comme ça… J’en ris, voilà. Trop folle pour toi. Lunatique, il ne faut pas ? Et ce passé dont je ne veux pas te parler… Oh mon amour… il est grand temps, que ma mémoire foute le camp.

27 mars 2007

Regarde, c’est l’astre de la vie, regarde, au

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Regarde, c’est l’astre de la vie, regarde, au travers des barreaux de l’esprit de désillusion. Vois mon ange, dévisage moi. Mon ange de douceur, oublis la douleur maladive de nos nuits d’angoisses. On se cache sous le lit de peur de se faire dévorer par les spectres salaces. Mon ange de beauté, je te pleure lorsque tu es loin de moi, lorsque tu ne peux plus me protéger. Mon ange d’illusion, tu es ma simple invention. Parfois, je ne crois plus en ta présence… Insolente ! Blâme moi de ne pas te donner ma confiance. Oh belle ange, je m’en veux d’avoir cracher sur mon innocence. Mon étoile, ma fée, mon amie, mon amour, pardonne moi. Je t’aime, le sais tu ? Nous, demoiselles de folie. Politique de rêve avorté, lorsque nous montons trop haut dans l’arbre de notre histoire, les nuages se peignent dans notre tête. On trouvait cela tellement facile d’enlacer nos mots lorsque c’était pour offrir nos lettres à notre autre. Maintenant, mon silence est la potence que tu m’as offert comme punition. Et j’en pleure ma tendre amie, mon ange de grâce. Tu es bien cruelle, ma Jolie Demoiselle.

27 mars 2007

Juste euphorique

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Juste euphorique

Heureuse d'être avec toi, tout simplement.

27 mars 2007

You are crying in my dream

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You are crying in my dream

Dans les flots indolents de mon esprit délavé, mes délires magnanimes ressortent une fois la nuit tombée. Je me vois reine ou fée, suicidante ou aliénée. Je vis des aventures fantasmagoriques, alors que mon corps est endormi : horreur ou bonheur, le monde que je crée va de l’enfer au paradis en quelques grains de sable à peine dans le grand sablier du temps. Ma chair dort, mon esprit en éveille, glisse au travers de la paroi impalpable qui délimite la conscience des rêves.

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27 mars 2007

Futur

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Futur

Il y avait des traces partout, sur le sol, sur le ciel blanchi par le froid. Les traces laissées par le passage des hommes. Des traces indélébiles. Des traînées qu’on ne pouvait nettoyer. Des traces de béton et d’acier. Sur le sol, le ciel, les arbres et même les étoiles. Il y a eu les dinosaures, les singes, les hommes et nous, maintenant que sommes-nous ? Nos organes pollués par ceux qui nous ont précédé, ceux qui ont avorté leur futur sans s’en préoccuper. Nous devons réparer, réparer la nature qu’ils ont déchiré

27 mars 2007

Seule

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Seule

C’est horrible de se sentir aussi mal. D’avoir cette douleur au cœur qui vous poursuit jusque dans vos rêves. Les larmes qui montent rien qu’en écoutant une chanson ou en sentant une odeur. C’est horrible de savoir qu’il est pratiquement de le même cas de son côté aussi, mais pas pour soi. Au début c’était le bonheur, la féerie. Maintenant c’est les pleurs et pas de sortie. Dans le noir, avec deux bougies allumées, une senteur vanillée qui se répand, les flammes se brouillent dans les yeux, on pourrait dire que les sanglots agitent la poitrine. Mais non, il ne faut pas. Je retiens mes pleurs, comme si je n’avais pas le droit de les déverser. Je m’en veux, et je ne sais pas pourquoi. J’ai mal, et je ne sais pas comment le dire. On répète « je comprends » non, non, éternellement non, ils ne comprennent pas. Je le vois tous les jours et il me manque. Je veux arrêter d’y penser mais j’ai besoin de lui. Je veux me taire à jamais mais j’ai besoin d’écrire. C’est ces besoins inscrits dans la chair à l’encre violette qui rythme ma vie et les battements de mon cœur.
C’est les «je t’aime »  qui ne me sont pas adresser qui font que je me laisse enfin pleurer.

¤ C’est nul c’est nul c’est nul ! Ah je sais pas écrire… Je me déteste. ¤

27 mars 2007

Elle est moi

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Elle est moi

Elle rentre en moi… Elle m’est. Maintenant, elle ne m’abandonnera plus jamais. C’est une nouvelle vision des choses. Ca apaise le cœur, met un baume sur l’organe. Mes mots nous attachent, le Nous celé à l’encre violette. Dorénavant nous serons deux à l’intérieur. J’avais mal, si mal, mais maintenant nous allons mieux. Mon Moi, mon Moi adorable, aimé et tant recherché. Je c’est nous. Limite schizophrène… Nous sommes des enfants doublées grâce à mon cerveau délavé. Ni amour, ni haine entre nous, nous n’avons qu’un seul cœur pour deux. Etre seule, être ensemble, oxymore ; tu m’as inspiré. Je lui offre enfin le monde d’irréel qu’elle souhaitais. Quand je m’endors, elle prend le dessus, je vois sa vie de l’extérieur. Le temps n est pas le même dans ton monde et le mien. Bientôt le temps ne sera plus, nos mondes se rejoindront, mais jamais plus nous n’aurons chacun chacune notre corps. Je ne veux plus te perdre… Plus jamais…

27 mars 2007

Dead Boy´s Poem Lyrics

Dead Boy´s Poem Lyrics

Une putain d’erreur
Un truc à pas faire
Un pauvre conducteur
Et un chemin de fer

Comme poussé par un coup de vent
Ses pieds se sont décollés
Il s’est jeté en avant
Et le train est passé

Nous ne comprenons pas son sort
Nous nous demandons ce qu’il a poussé
A se donner la mort
Sur cette voie en acier

Ami d’enfance
Espiègle et joyeux
Témoin de mes 1er pas de danse
Le perdre est tellement douloureux

Ce poème est le court présent que je t’offre
Pour ton passage au Paradis
Je n’ai ni bijoux ni étoffes
Pour honorer la fin de ta vie.

A Jean Baptiste
Décédé Jeudi 9 Novembre 2006

27 mars 2007

13 octobre 2006

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13 octobre 2006

J'ai la rage dans le ventre, la fatigue dans les yeux, les larmes sur les joues, le sang sur la lèvre et les dents, la douleur dans les doigts, les nuages dans la tête, et une létargie certaine dans tout le corps. Ta présente m'apaise. J'aime quand tu es près de moi. Reste ! Je veux t'apprendre, te savoir... Parle moi encore... Ne bouge pas ! N'avance pas, reste la, pour longtemps encore, ou l'éternité alors. C'est comme un nouveau départ, une renaissance, une prise de conscience. Il ne sert à rien de se prendre la tête, la vie est faite pour être vécue ! Alors vivons la ensemble, là, ici même sur notre petit muret. Mais nous ne sommes pas seul, oh je t'en pris, restons seul cette fois... Je sais, je suis possessive, mais je t'aime tu comprends. Viens, on s'en va, prend le mur avec toi. On change de monde, on oublit les autres, on sera ensemble. Dis moi que c'est ce que tu veux toi aussi, dis moi ça ! Dis moi que tu es heureux qu'on soit ensemble... Dis moi que tu serais heureux si on était ensemble...

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